Loi de Hardy-Weinberg

 

D’après la loi de Hardy-Weinberg : Dans une population dont l'effectif est infini (très grand), panmictique (unions au hasard), en l'absence de mutation et de sélection, la fréquence des génotypes sera le développement de (p+q) 2, p et q étant les fréquences alléliques. On peut représenter cette loi au travers de graphique suivant qui représente les fréquences génotypique en fonction de la fréquence allélique.

 

 

La figure montre la correspondance entre la fréquence allélique q de a et les fréquences génotypiques dans le cas de deux allèles en régime panmictique. La fréquence maximale des hétérozygotes H est alors atteinte lorsque p = q et H = 2pq = 0,50. A l'inverse, lorsque l'un des allèles est rare (ex : q très petit), presque tous les sujets possédant cet allèle se trouvent sous la forme hétérozygote.